Toute formation professionnelle propose à un moment donné la participation à un stage en entreprise en vue de se familiariser au contexte du monde du travail. Les connaissances acquises en classe, ne resteront que des savoirs théoriques si nous ne sommes pas confrontés à la situation réelle sur le terrain. C’est ainsi que l’ENS de Yaoundé, dans son programme de formation, a intégré un stage professionnel pour les étudiants finissants (Niveaux 3 et 5). L’entreprise étant les établissements scolaires, et la matière d’œuvre ici les élèves.Les stagiaires du Lycée Leclerc

Initialement prévu pour le 16 janvier dernier, c’est finalement le 18 janvier que le stage pratique a démarré. C’est une occasion pour les élèves professeurs de se frotter à l’environnement dans lequel ils passeront tout le temps de leur carrière. Cette période de stage commence par une phase d’observation qui dure deux semaines, suivie de cinq semaines d’enseignement, la dernière semaine étant réservée à l’évaluation par les Inspecteurs de pédagogie.

Pendant la phase d’observation, l’étudiant observe les enseignements de son encadreur en vue d’en tirer les bénéfices, qui lui permettront d’envisager des stratégies à mettre en œuvre pour la dispensation des cours lorsqu’il prendra la classe en main. Mais certains enseignants profitent de cette période pour abandonner les classes aux stagiaires. Ces derniers prenant donc en charge les classes sans aucune idée des méthodes à mettre en œuvre pour la maitrise de la classe, et des méthodes pédagogiques à développer car, savoir est une chose, et pouvoir transmettre ses avoirs en est une autre. Laisser un stagiaire enseigner sans qu’il ait observé et sans vérifier les préparations de ses cours induit un problème non négligeable, à savoir celui de la qualité des enseignements que celui-ci transmet aux élèves dont il a la charge. Les encadreurs aideraient mieux ces élèves professeur en les faisant observer leurs cours et en les suivant dans leur processus d’enseignement, puisque ceux-ci sont là pour apprendre à enseigner et non pour enseigner.

Toute formation professionnelle propose à un moment donné la participation à un stage en entreprise en vue de se familiariser au contexte du monde du travail. Les connaissances acquises en classe, ne resteront que des savoirs théoriques si nous ne sommes pas confrontés à la situation réelle sur le terrain. C’est ainsi que l’ENS de Yaoundé, dans son programme de formation, a intégré un stage professionnel pour les étudiants finissants (Niveaux 3 et 5). L’entreprise étant les établissements scolaires, et la matière d’œuvre ici les élèves

Initialement prévu pour le 16 janvier dernier, c’est finalement le 18 janvier que le stage pratique a démarré. C’est une occasion pour les élèves professeurs de se frotter à l’environnement dans lequel ils passeront tout le temps de leur carrière. Cette période de stage commence par une phase d’observation qui dure deux semaines, suivie de cinq semaines d’enseignement, la dernière semaine étant réservée à l’évaluation par les Inspecteurs de pédagogie.

Pendant la phase d’observation, l’étudiant observe les enseignements de son encadreur en vue d’en tirer les bénéfices, qui lui permettront d’envisager des stratégies à mettre en œuvre pour la dispensation des cours lorsqu’il prendra la classe en main. Mais certains enseignants profitent de cette période pour abandonner les classes aux stagiaires. Ces derniers prenant donc en charge les classes sans aucune idée des méthodes à mettre en œuvre pour la maitrise de la classe, et des méthodes pédagogiques à développer car, savoir est une chose, et pouvoir transmettre ses avoirs en est une autre. Laisser un stagiaire enseigner sans qu’il ait observé et sans vérifier les préparations de ses cours induit un problème non négligeable, à savoir celui de la qualité des enseignements que celui-ci transmet aux élèves dont il a la charge. Les encadreurs aideraient mieux ces élèves professeur en les faisant observer leurs cours et en les suivant dans leur processus d’enseignement, puisque ceux-ci sont là pour apprendre à enseigner et non pour enseigner.

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